#Interview télé
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rearranging-deck-chairs · 6 months ago
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si big finish ne va pas m'employer pour écrire quelques boxsets sur thasmin, vous pensez que je pourrais me faire employer comme adapteur pour doctor who version française
#en train de regarder cet interview avec le directeur artistique de la version française et#c'est tellement intéressant et je veux m'excuser un peu pour les commentaires que j'ai faits avant#critiquant les erreurs et les décisions étranges etc#parce que ça a l'air tellement difficile à faire mais j'aimerais le défi et j'aime dw donc#j'ai aussi regardé la version italienne hier#et j'aime cette version aussi#mon italien n'est pas encore au niveau mais#moi dans leur inbox quand j'ai traduit quelques romans dw en français et en italien: salut/salve emploie-moi stp#fgkjhgjk#il y a six mois j'ai traduit les mots 'lungbarrow' et 'oakdown' en français ghfkjgh#seulement les mots#c'est déjà qqch ghkjhgj#mais c'était vraiment fun je veux faire plus#je peux simplement commencer à traduire un roman mais#jsais pas. j'ai toujours le sentiment que mon français n'est pas suffisamment bon et ça me démoralise#et je peux pas réperer mes erreurs. je sais que je les fais mais je sais pas où ça me rend dingue#je sais pas si mon français est en fait un anglais traduit comme mon néerlandais est un anglais mal traduit#mais je vais pas l'améliorer en évitant de l'utiliser#c'est le b2-c1 plateau c'est si chiant#je ne me souviens pas vraiment comment je l'ai passé en apprennant l'anglais#je crois que je regardais simplement BEAUCOUP de télé#en fait ça doit avoir été lors de ma première obsession avec dw. et sherlock etc#quand j'ai regardé sherlock les premières fois j'avais besoin de transcriptions à cause des accents et le marmonner#ils parlaient vraiment pas très nettement#mais aussi ils utilisaient beaucoup de mots au-delà de mon niveau#je sais pas. ça fait 10 ans entre b2 et c2 je pense#j'ai pas envie qu'il faudra encore 10 ans avant que je ne parle le français ghjkhkj gotta streamline#j'ai des cahiers de grammaire c1/c2 je dois seulement les utiliser. sigh
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whileiamdying · 1 month ago
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maluron · 1 year ago
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j'ai enfin vu Starmania
toute ma vie j'avais entendu Le blues du businessman sans le petit couplet d'intro de Cristal--c'est donc pas des regrets sincères mais un PR stunt ?? d'un politique pire que pourri ??? dans une interview de télé-"réalité" ? my whole life is a lie
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cambrioleur · 9 months ago
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Thank you, Guédira, very cool
From an interview Soufiane Guerrab (aka Youssef Guédira) did for the French website Télé-Loisirs on Sunday:
"Je ne peux pas vous répondre," tel est le début de la réponse de Soufiane Guerrab à la question d'une prochaine saison 4 de Lupin. Mais le comédien, dans un grand rire, se fait ensuite - entre les lignes - optimiste, à défaut d'être définitif : "Il y a de très belles choses qui arrivent. Il n'y a rien de... Je laisse les boss l'annoncer! Moi, je ne suis qu'un instrument. Une guitare. La guitare ne prend pas de décisions. Elle joue les notes qu'on lui demande." À charge désormais pour les fans de Lupin d'interpréter cette réponse sibylline...
Rough translation:
"I can't answer that." So goes the beginning of Soufiane Guerrab's response to the question of an upcoming season 4 of Lupin. But with a loud laugh, the actor becomes (reading between the lines) optimistic, for lack of being definitive: "There are excellent things coming. There's nothing to - I'll let the bosses announce it! I'm only an instrument. A guitar. Guitars don't make decisions, they only play the notes asked of them." Therefore it is up to Lupin fans to interpret this enigmatic response...
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aurevoirmonty · 3 months ago
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«Les Européens ont complètement perdu la tête. Le moment est venu de répondre à toute attaque massive par une frappe nucléaire»–Sergueï Karaganov
Cela doit s’appliquer également à toute invasion et occupation de notre territoire», préconise le politologue, très influent à Moscou.
«La doctrine nucléaire russe actuelle est basée sur les postulats du siècle dernier», dénonce-t-il dans une interview (https://www.kommersant.ru/doc/7059257) à Kommersant.
Il est important que les dirigeants russes déclarent clairement que nous sommes prêts à utiliser les armes nucléaires.
Même constat de la part de l’ex-ambassadeur de Russie à Washington, Anatoli Antonov, à la télé russe (vidéo):
«Nous l’avons dit 100 fois. J’essaie constamment de leur faire comprendre que les Américains ne pourront pas rester cachés de l’autre côté de l’océan.»
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goranvisnjicdaily · 4 months ago
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Ok, One last and I'm out haha! 🤣🤣
I Bought this French Magazine few weeks ago and there, I took the time to scan it today! I can translate it for you guys if you want and I'll publish the text on the website!
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You can view the HD Size of the mag right 👉 HERE
Here's the text translated in English ( I did use Google image to translate since I wasn't in the mood at all to do so today)
Enjoy :)
TEXT IN ENGLISH 👇
You will see them
this week
Emergencies Goran Visnjic
30 is a mystery to them. However, Kovac is up to the responsibilities
This Sunday, France 2
offers a special Emergency evening. Fans of the series will discover the episodes of the sixth season, in September 2000. As a preview, Télé Poche met one of its new heroes, Goran Visnjic.
SUNDAY F2
20.55
EMERGENCIES
Is it easy to integrate a series like “Emergencies>? I am finishing filming the
fourth episode. It's still too early to say anything about it. I try to find my feet, I concentrate on the scenario, the characters. I haven't had the chance to evaluate the rest yet. Most of the actors have been there for years. It’s actually very impressive! In a few months, I will be more at ease, will Luka Kovac, your character, make us forget the
departure of Doctor Ross? Contrary to what people have said, I am not replacing George Clooney. I don't play the role of a pediatrician like him. The confusion comes from the fact that in the very first episode, I was taking care of injured children: a truck had smashed through the window of a store where they were. Laka Kovac primarily deals with surgery. He studied extensively
before entering the emergency room. He is passionate about his job. Life in general captivates him. In fact, his personality intrigues his colleagues. II
NEWCOMERS AT Kellie Martin: intern Lucy Knight. Appeared in the series Baywatch.
Paul McCrane: Robert Romano, competent doctor but with a difficult character. Filmed in Robocop and X-files. Michael Michele: Cleo Finch. Will fall in love with Dr. Benton, aka Eriq La Salle,
“I am not replacing George Clooney”
Goran Visnjic.
27 Year old
in charming company, for an evening
in Los Angeles.
EMERGENCY DEPARTMENT Ming-Na Wen: Dr. Deborah Chen. Has already appeared at all
start of the series. Erik Palladino: David Mallucci, a fiery and passionate young intern.
Maura Tierney: Nurse Dori Lockhart. Filmed in the film Primary Colors, alongside John Travolta
Rolland
which were entrusted to him and he wishes to prove it: he lived through the war in the former Yugoslavia. When did you arrive in the United States?
My first trip was two and a half years ago. At the time, I stayed five days, then I returned home to Croatia. I went back and forth quite a bit with my wife Ivana. Today, because of filming, I have to stay in California until April. I will only return to Europe this summer. Before Urgences”, you acted in the cinema...
When I got the role of Kovac, I was working on a film. Michael Crichton, who produces Emergency,” saw me in The Peacemaker with George Clooney. He asked me to join the Were You Already an Actor series.
in your country? I took lessons at
the Academy of Dramatic Arts in Zagreb. At the age of 21, I was rewarded several times for Hamlet, Shakespeare's tragedy. I did a lot of theater, played a lot of Molière: “Les fourberies de Scapin”, L’école des femmes….
<Urgences is very popular, don't you worry about being too well known? In every experience,
there are positive aspects and others, negative. I decided to only remember the positive. Notoriety is part of the game. But here, everything is simpler:
the actors are protected. In Croatia, when I didn't have time to give an interview, I had to warn
the journalist. Now my agent is taking care of it.
Interview: Franck Rogaine, in Los Angeles
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swedesinstockholm · 4 months ago
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10 juillet
ça y est, je commence à me demander pourquoi je suis là, ça m'aura pris trois jours. pour pas refaire la même erreur qu'hier et éviter de me sentir comme une merde amorphe je suis repartie chez ikea pour échanger ma lampe mais quand je suis arrivée à südkreuz un gigantesque orage a éclaté, le ciel était noir et la pluie tombait par rafales, c'était très beau mais j'ai rebroussé chemin sans être allée à ikea. quand ça s'est calmé j'ai décidé de partir à la recherche de la réglisse rouge avec mon nouveau pass. j'écoutais une interview fleuve de laura vazquez sur arte radio et ça donnait des situations surréalistes où j'errais à travers les rayons de nourriture de luxe au sixième étage du kadewe avec des extraits de performances de christophe tarkos dans les oreilles. j'ai bien aimé la superposition des deux. en plus il y faisait bien frais. évidemment j'ai pas trouvé de réglisse rouge alors j'ai repris ma route et je me suis arrêtée au magasin de bonbons tapageur un peu plus loin mais je suis pas rentrée parce que ç'avait l'air nul et y avait personne à l'intérieur.
dans mes oreilles laura vazquez disait que quand on lisait un texte à voix haute il fallait se mettre derrière le texte et ne surtout pas interpréter. rester le plus neutre possible. je me suis dit qu'elle trouverait mes lectures à chier. elle dirait que je fais tout à l'envers. mais moi je veux pas servir le texte. je veux que le texte me serve moi. je suis plus importante que mes textes. je crois. c'est peut être ça mon problème. elle disait aussi qu'elle était absolument pas intéressée par l'autobiographie/l'autofiction et à chaque fois qu'une autrice dit ça j'ai l'impression qu'elle est supérieure à moi. que ce qu'elle écrit est plus important, plus légitime, mieux. parce qu'elle a pas cédé à la facilité de l'autobio. mais est-ce que faire de l'autofiction c'est céder à la facilité? c'est pas parce que je me vois faire rien d'autre que c'est forcément plus facile. c'est une matière comme une autre.
elle disait que ses textes avaient toujours comme point de départ les textes des autres, à travers les notes qu'elle prend en lisant des livres notamment. pour son dernier livre elle traduisait des extraits de journaux en japonais avec google et ça donnait des phrases bizarres. je me demande si elle fait le jeu des poèmes-radio aussi. elle disait qu'à la fin de l'écriture de son dernier livre elle avait failli perdre la tête parce qu'elle écrivait jour et nuit et qu'elle avait trop laissé sa narratrice entrer dans sa tête. sa narratrice a une sensibilité démesurée et l'esprit perturbé. tout la touche et tout lui fait mal. elle disait que ça l'avait transformée en zombie fragile et triste. moi je me sentais comme un zombie fragile et triste cet après-midi en écoutant laura vazquez sous la canicule dans les grandes artères commerciales de berlin ouest. pas vraiment triste, plutôt neutre, un zombie n'ayant pas d'émotions. un zombie est concentré sur sa mission (manger les vivants) moi j'étais concentrée sur ma mission: trouver de la réglisse rouge.
après le kurfürstendamm je me suis attaquée au pire des endroits: le alexanderplatz. quand je suis sortie du métro sur la place il devait faire au moins 45 degrés et quand je suis arrivée devant le magasin américain les rayons étaient à moitié vides et y avait personne à l'intérieur, alors j'ai de nouveau passé mon chemin et j'ai continué jusqu'au centre commercial à côté pour manger un truc parce que j'étais au bord de l'évanouissement. j'ai pas trouvé de boulangerie alors j'ai pris deux petits pains chez edeka pour 94 centimes et je me suis assise sur un banc dans la galerie en face d'un magasin de bijoux cheap à côté d'un garçon qui jouait sur son téléphone en attendant sa mère. dans mes oreilles laura vazquez disait que ses parents regardaient beaucoup la télé. quand ils se sont rencontrés ils étaient tous les deux employés de supermarché. laura vazquez elle a fait plein de petits boulots parce qu'elle a jamais voulu de vrai travail. elle durait jamais plus d'une semaine parce qu'elle détestait travailler, mais elle a toujours trouvé des combines pour toucher des bourses. c'est la reine des bourses. après avoir vécu plusieurs années en espagne sur les bourses erasmus elle s'est installée à marseille à cause du centre international de poésie et parce que c'était quand même mieux de rentrer en france pour faire des lectures et tout ça. tout d'un coup je me suis dit oh putain mais qu'est-ce que je fous là? est-ce que je prends pas ma carrière assez au sérieux? est-ce que je suis en train de faire n'importe quoi?
comme ma mission était terminée j'ai eu l'idée saugrenue d'aller voir un lac qui avait l'air joli et paisible au nord de la ville parce qu'y avait un tram direct pas loin et que les pass illimités pour les transports en commun c'est mon équivalent des buffets all you can eat: j'en veux pour mon argent et j'ai les yeux plus gros que le ventre. mais il faisait cinquante degrés dans le tram et il avançait pas donc je me suis dit qu'il était temps de rentrer et de mettre fin à cette journée absurde. et puis ce soir j'ai dit à n. que j'avais oublié d'acheter des trucs pas sains et elle m'a dit tu veux de la glace menthe chocolat en dessert? j'en ai un pot au congélateur, et ça a tout remis en perspective. peut être que ma vraie mission pour berlin c'est d'apprendre à être plus douce avec moi-même. d'arrêter de me juger sans arrêt, même quand je prends des décision à la con. de pas trop me mettre la pression, de me faire plaisir, de trouver de la légèreté et de me laisser vivre, mais de pas m'en vouloir si j'y arrive pas. c'est déjà assez gros comme programme. et de finir mon livre obvs. j'ai pas écrit aujourd'hui, alors qu'il me tardait de rentrer pour écrire à force d'écouter laura v. je suis pas assez obsédée par mon texte. il faudrait qu'il m'obsède. il faudrait que je pense à rien d'autre.
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yespat49 · 9 months ago
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La folie guerrière des 3 derniers présidents français
Souvenez-vous : Sarkozy avait dit en public à Hollande lors d’une interview en extérieur je crois après un débat télé “quand on fait une guerre on la fait vite et bien” en faisant allusion à “sa” guerre de Lybie, au moment de la campagne présidentielle de 2012… J’avais été choqué par l’impudence de Sarkozy, connaissant un peu les dessous mafieux de l’affaire libyenne… Et cela n’avait pas manqué…
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francaistoutsimplement · 6 months ago
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Macron, de la déroute économique à la fuite en avant belliciste néocon pour faire oublier qu’il a détruit la France
Excellent article de @BrunoBertez:
Macron a maintenant choisi de monter sur la scène internationale pour nous jouer le rôle du super-neocon jusqu’auboutiste!
Est-ce parce que Poutine l’a humilié, est-ce parce que Scholz tire la couverture à lui? .
L’ennui est que Macron, en déroute sur presque tous les plans, a choisi la fuite en avant belliciste.
Il semble partager maintenant l’opinion que la « russophobie d’ homme des cavernes » peut le sauver et même le propulser comme leader en Europe, c’est ce qu’imagine le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Lavrov a rappelé que Macron avait récemment déclaré dans une interview que la Russie était la principale menace pour l’Europe et la France.
Depuis son entrée en fonction en 2017, Macron s’est révélé être lui même la principale menace pour la France et l’Europe.
Des annonces massives de dépenses ont marqué les trois dernières années, à commencer par la pandémie de coronavirus.
Mais cela n’a pas suffit a ses ambitions, après que l’Occident a ciblé la Russie par des sanctions suicidaires les dépenses ont encore augmenté. Les conséquences des restrictions ont entraîné une énorme crise de l’énergie et du coût de la vie . Pour couronner le tout, des mesures coûteuses ont été prises pour soutenir les entreprises et les français, mesures mal ciblées et gaspilleuses.
Ou bien est-ce parce qu’au fond il n’a ni conviction ni analyse comme sa représentante aux élections européennes, Hayer, qui déclarait il y a quelques jours alors qu’un des animateurs de télé a sollicité son avis sur la guerre entre la Russie et l’Ukraine,: « je ne suis pas experte de ce sujet »
Les Jeux Olympiques qui sont une fête dont le peuple est totalement exclu? vont approcher  les neuf milliards d’euros de dépenses, mais ce n’est qu’une estimation minorée, la facture réelle, définitive, -dépenses de corruption comprises- dépassera les 12 milliards d’euros.
Mais cela ne suffit pas à combler les narcisses au pouvoir,  il va falloir penser aux dépenses pour l’Ukraine! 
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mmepastel · 1 year ago
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Je n���ai pas réagi tout de suite car j’étais hors de connexion mais j’ai pris un sacré coup dans le plexus solaire avec l’annonce de la mort de Jane B.
Comme pour beaucoup, elle a fait partie de ma vie, et elle a beaucoup compté.
Quand j’étais jeune, je l’ai vue au zénith de Toulouse, avec ma sœur. Le frisson quand sa voix a retenti dans le noir, a cappella, entamant L’Aquaboniste, Gainsbourg venait de mourir, c’était son hommage, poignant. Puis on l’a découverte assise au bord de la scène, avec sa chemise blanche et son jean usé, et ses converses grâce à une coursive qu’il l’a enfin éclairée. Il se murmurait que Charlotte était dans les coulisses. Car oui, c’était aussi ça, Gainsbourg, Charlotte, puis Lou, Jacques Doillon, (sans parler de Kate, dont je n’oserai rien dire), que des personnes assez incroyables, ça ne peut pas être un hasard… voyez ce que je veux dire ?
A la même époque, je m’étais acheté un T-shirt blanc et un panier, et je voulais absolument lui ressembler (c’était très mal engagé), j’ai trouvé à prix d’or aux puces de Saint-Ouen le vinyle où elle arbore ce pull rouge, puis quand il est sorti, je me suis offert le coffret jaune pâle ci-dessus. Je l’ai écouté sans fin, avant, après le bac, longtemps longtemps.
Je sais que les gens se sont moqué de sa voix, de son accent, mais il se trouve que moi, je suis plus Jane Birkin que Céline Dion, et j’ai toujours aimé l’émotion qu’il y avait dans sa voix et le choix de ses mots dans ses interviews, j’ai aimé qu’elle n’ait pas perdu son accent, qu’elle se soit trouvé sa voix.
Son parcours courageux a montré qu’elle n’était pas juste une muse ni une interprète, voire une marionnette de Serge le facétieux.
Enfin, il faut bien l’avouer, je pense qu’on a rarement vu un visage aussi merveilleux dans nos télés. La grâce. Je reste fascinée, et désormais peinée. (J’ai de la peine à imaginer la tristesse de ses filles.)
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lecameleontv · 10 months ago
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Les interviews 1 - 2 que l'acteur James Denton a donné pour sa participation à l'émission télévisuelle Danse Avec Les Stars.
Gala :
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TF1 :
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TV Magazine :
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20 Minutes :
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TéléPoche :
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Télé 2 Semaines n°525 :
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Soir Mag :
Télé Magazine :
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Télé Star :
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sources : 20minutes.fr, andreaparker_suisse_fans, @LabVince, gala.fr, journaldesfemmes.fr, official.james.denton, programme.tv, romufer, tf1info.fr, @TVMAG et @Tele2Semaines
Alias Mr Lyle dans la série Le Caméléon
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snap221sn · 12 days ago
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"Invivable", Christian Clavier explique pourquoi il a quitté la France pour la Belgique
Christian Clavier est à l’affiche du film Jamais sans mon psy, aux côtés de l’humoriste Baptiste Lecaplain. L’acteur lyonnais Rayane Bensettiy a également un rôle. La sortie est prévue pour le 11 décembre en France et le 18 décembre en Belgique. A l’occasion de la promotion, l’acteur français a accordé une interview à nos confrères de Ciné-Télé Revue. Certaines scènes du film ont été tournées en…
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lefeusacre-editions · 2 months ago
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RIEN QU'UN MAUVAIS RÊVE, par Steven Lambert
Toutes les nécros de Michel Blanc, décédé tragiquement le 3 octobre dernier, ont cité le malentendu célèbre de Jean-Claude Dusse dans leurs gros titres, alors que l'acteur comme le cinéaste a été le seul de la troupe du Splendid à être on ne peut plus clair sur celui bien plus vaste et néfaste que sa bande de copains du Lycée Pasteur a su tourner à leur avantage. Le film de cette prise de conscience sur lui-même et son histoire, et leur dérive, c'est Grosse Fatigue. Le Feu Sacré a voulu lui rendre hommage en republiant ce texte de Steven Lambert.
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Michel Blanc dans Grosse Fatigue (1994).
De quel rêve ou cauchemar les inspecteurs de police tirent-ils Michel Blanc lors de la scène d'ouverture de Grosse fatigue ? Est-il possible de sortir d'un rêve pour rentrer, mais sans trop le savoir et de plain-pied, dans un cauchemar ? Comme si l'un n'était que le marche pied de l'autre, un cauchemar sans fin qui nous aurait donné l'illusion, le goût pour des lendemains heureux et sans soucis afin de mieux nous entraîner au fond de son terrier. Et ces fausses interviews télé données par des vraies stars dans cette même scène : de quelle disparition – pour ne pas dire enterrement – annoncent-elles la nouvelle en prenant à partie ce public de cinéma devenu téléspectateurs ?
Vous êtes Michel Blanc ? demande le policier.
Ben je ne sais pas, il est encore trop tôt... Et vous ?, répond l'autre.
Celui qu'on appelle Michel Blanc a tenté avec ce film un exorcisme : celui de son image, son double, celui de sa carrière faite de seconds rôles et lui ayant donné comme par procuration un peu du rayonnement spectaculaire de ses anciens camarades du Splendid. Autant le dire d'emblée : si Grosse fatigue est réussi et fascine, c'est de montrer l'échec de cet exorcisme : autrement dit l'impossibilité pour Michel Blanc, tel un Peter Pan empâté et dégarni, de ne faire qu'un avec son ombre et surtout de faire que l'ombre ne soit qu'une ombre. Or ce film montre précisément la victoire nécessaire de l'ombre de Michel Blanc : la victoire de l'ombre comme lumière, comme la seule lumière qu'il n'y ait jamais eu. La victoire de l'ombre et du masque, du cliché et de la caricature vivante avec tous ses travers, non seulement sur sa personne mais sur son monde. Un monde désormais à l'image de cette imposture : à l'image de ces ruraux enfermés dans leur ringardise, de leurs dîners sans fin, de leurs adorations pour les stars, enfermés dans une vie où même les « miracles » ne sont jamais que l'autre nom du ridicule, l'occasion d'une bonne blague. Un monde où les questions d'identités se règlent avec la police, où les amis vous tournent le dos les uns après les autres quand ils ne vous tabassent pas, où chaque tentative pour répudier l'image infernale que vous vous êtes forgés et qui vous échappe est immédiatement sanctionnée.
Grosse fatigue nous montre ainsi comment une âme qui a perdu son corps le perd une seconde fois, mais sciemment cette fois. Cette première perte, antérieure au film, c'est cet imposteur qu'il faut retrouver et réussir à coincer dans la première partie : essayer de remettre la main sur ce qu'on a laissé filer, par négligence ou par paresse, essayer de sauver sa peau ; l'âme se réveillant un beau matin lorsqu'on vient lui apprendre les méfaits du corps (le viol de Balasko). Une fois attrapé le double maléfique, cet autre soi, ne se laisse pas faire et n'entend rien lâcher : il sait qu'il a la main haute, depuis un bon moment déjà, alors il dicte ses termes. C'est cette nuit au bord de la route où l'on pactise avec l' « ennemi », où l'on se distribue les tâches et où l'on perd sans trop chercher à le savoir : le corps ira faire acte de présence sur les plateaux télé, cachetonner dans des films médiocres pour ne pas éveiller les soupçons, pendant que l'âme ira se baigner au soleil le cœur léger, dans ce qui pourrait être un ultime avatar du Club Med cher aux Bronzés. La révolte de l'âme est inutile, hier comme aujourd'hui : l'ennemi, le Spectacle, cet hôte à qui l'on avait déjà dit oui sans trop chercher à s'en souvenir, est revenu réclamer son dû : il est revenu et il porte désormais notre visage.
Il n'y a pas d'échappatoire : nous ne sommes la victime de ce monde infernal que dans la mesure où nous en avons été l'artisan. C'est ce que cette virée à la campagne sur les traces de l'autre Michel Blanc, celui qui devait être issu d'un milieu autre que la bohème parisienne, nous apprend au même titre que ce pacte faustien conclu en bord de route. L'autre n'est pas là, n'a jamais été là pour nous rappeler au « goût des choses simples » : l'autre est là, dans l'ombre, prêt à saisir sa chance au moindre relâchement comme nous avant lui, pour prendre sa revanche. Revanchard et aigri, pétri d'une vie de ressentiment où l'on collectionne les affiches et photos des films de sa star préférée. Et ce relâchement advient toujours sans qu'on s'en rende bien compte, lorsqu'il est déjà trop tard : lorsqu'on s'est endormi, lorsqu'on s'est retourné dans sa propre image, cette image à laquelle on aura dit au moins une fois oui, juste une fois mais de trop.
Si l'autre vous connaît mieux que vous-même c'est que son monde ressemble à s'y méprendre au vôtre : du Carlton de Cannes jusque Chez Régine à Paris, en passant par les animations de supermarché et les concours topless dans des boîtes de nuit douteuses, il ne s'agit plus que de degrés sur la même échelle. Un monde qu'il connaît mieux que vous à force de ressembler à un de vos films et où l'on ne s'arrête plus après qu'une femme ait rejeté vos avances, parce qu'on sait qu'on peut désormais se le permettre. Un monde où même la prétention à être un auteur, ce parangon d'authenticité auquel on ne croit déjà plus trop soi-même, ne vous sauvera pas.
Une autre manière de dire que Michel Blanc cherche à expier avec Grosse fatigue l'expérience Splendid : la troupe autant que sa trajectoire et son sens, le symptôme qu'elle représente au sein de la société française des années 90. Michel Blanc cherche à expier mais le salut ne vient pas, lui est comme refusé. Lorsque le salut se présente c'est encore sous la forme d'un pacte, d'un donnant-donnant : jouer encore une fois les figurants, les seconds seconds-rôles, les garçons de café pour tout recommencer mais avec la leçon retenue. Autrement dit lorsque le salut se présente, enfin, c'est encore sous la forme d'une caricature, d'un marché de dupes dans lequel on espère perdre sa mémoire, perdre la trace de ce que l'on a fait. Jouer honnêtement la carte de la mauvaise conscience. S'humilier un peu plus comme l'ombre de l'autre à laquelle on est désormais condamné, descendre encore un peu plus bas dans le terrier et peut-être...
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mediamonarchy · 3 months ago
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https://mediamonarchy.com/wp-content/uploads/2024/09/20240905_MorningMonarchy.mp3 Download MP3 Dead horses, colt shooters and entire manifestos + this day in history w/33 bodies recovered and our song of the day by Thievery Corporation on your #MorningMonarchy for September 5, 2024. Notes/Links: Something’s Poisoning America’s Land. Farmers Fear ‘Forever’ Chemicals.; Fertilizer made from city sewage has been spread on millions of acres of farmland for decades. Scientists say it can contain high levels of the toxic substance. https://archive.is/8rNG6 Queen guitarist Brian May reveals he suffered stroke, lost control of his arm: ‘I don’t want sympathy’ https://nypost.com/2024/09/04/entertainment/queen-guitarist-brian-may-reveals-he-suffered-stroke-unable-to-use-his-arm-i-dont-want-sympathy/ Their loved ones died after receiving pig organ transplants. The families have no regrets. https://www.nbcnewyork.com/news/health/their-loved-ones-died-after-receiving-pig-organ-transplants-the-families-have-no-regrets/5749922/ Dozens Of Horses Suddenly Die At Oklahoma Ranch, Prompting State Investigation https://www.msn.com/en-us/news/us/dozens-of-horses-suddenly-die-at-oklahoma-ranch-prompting-state-investigation/ar-AA1pJGFD Search: horses vaccinated https://search.brave.com/search?q=horses+vaccinated&source=web Video: At least 40 horses dead at Oklahoma ranch in possible faulty feed incident (Audio) https://www.youtube.com/watch?v=NNih20B7oMc Renaud – “J’ai raté Télé-Foot” (Vinyl // Audio) https://www.discogs.com/release/9691364-Renaud-75-85 // https://translate.google.com/?sl=fr&tl=en&text=Mais%20j%27veux%20pas%20rater%20t%C3%A9l%C3%A9-foot%0A&op=translate // https://genius.com/Renaud-jai-rate-tele-foot-lyrics // https://www.youtube.com/watch?v=zW7_hLAJtlE West Virginian Middle School Football Player Dies From Head Injury During Practice https://archive.is/hBZyx NHL Forward Johnny Gaudreau, Brother Matthew Killed in Bike Accident; The Columbus Blue Jackets forward and his brother were riding bikes on a rural road when they were struck by a car. https://archive.is/cb0pm Wells Fargo employee dies at work in Tempe office; body not found until days later https://www.azfamily.com/2024/08/29/wells-fargo-employee-dies-work-tempe-office-body-not-found-until-days-later/ Video: Worker dead at Wells Fargo desk for 4 days (Audio) https://www.youtube.com/watch?v=hFCmNeTgdrs Sycamore High School student dies suddenly in Pleasant View TN https://www.wkrn.com/news/local-news/sycamore-high-school-student-dies-suddenly-in-pleasant-view/ Video: High school student dies suddenly in Pleasant View; Global warming suspected (Audio) https://www.msn.com/en-us/video/peopleandplaces/high-school-student-dies-suddenly-in-pleasant-view/vi-AA1pANKe Oologah elementary teacher dies unexpectedly https://www.fox23.com/news/oologah-elementary-teacher-dies-unexpectedly/article_c3b0f058-657d-11ef-b147-e31e570d80f8.html Netflix Star Julian Ortega Dies Unexpectedly After Collapsing At A Beach https://www.yahoo.com/entertainment/netflix-star-julian-ortega-dies-184556517.html Rapper Fatman Scoop dead after suffering medical emergency at concert in Connecticut https://www.tbsnews.net/worldbiz/usa/rapper-fatman-scoop-dead-after-suffering-medical-emergency-concert-connecticut-930521 Video: Fatman Scoop interviews Lil Jon about vaccines https://youtu.be/oTXccA68uXE “I’m social distancing!” https://fixupx.com/fatmanscoop/status/1251590213278859271 “Quarantine and CHILL!” https://x.com/fatmanscoop/status/1248415630941753344 Dr. Marlon B. Jackson, beloved Atlanta dentist, dies suddenly [age 66] https://archive.is/I5aQK Video: YOUR HEALTH IS IMPORTANT 3/23/2021 (Audio) https://youtu.be/ZxW1BQHBObQ?t=1101 Georgia cops identify school shooter as 14-year-old Colt Gray who will be tried as an adult after killing four; Two 14-year-olds, male teacher and female teacher killed https://www.independent.co.uk/news/world/americas/crime/apalachee-high-school-active-shooter-barrow-county-b2607059.html FBI questioned Georgia high sch...
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omagazineparis · 7 months ago
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Interview de la chanteuse Sôra
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Nous vous invitons à découvrir une nouvelle artiste pleine de promesses. Sôra est une jeune chanteuse que nous avons eu le plaisir d'interviewer. Cette passionnée de musique depuis toujours nous a raconté ses débuts dans la musique, elle nous a parlé de son album ainsi que de sa famille. Une bonne dose de positivité, croyez-nous ! Entre le jazz et le R'n'B, partons à la découverte de l'univers de Sôra, haut en couleurs ! Ô Magazine. Bonjour Sôra ! Est-ce que tu peux te présenter s'il te plaît ? Sôra. Je m'appelle Sôra, je suis chanteuse-auteure-compositrice et je fais du R'n'B, bridge j'aime bien l’appeler. Ô Magazine. Est-ce que tu peux nous expliquer quand et comment tu as commencé la musique. Sôra. Alors, j'ai commencé la musique quand j'étais enfant avec les pianos. J'ai commencé du coup par du classique et à composer un peu dans mon coin, sur mon piano. Et évidemment j'ai toujours chanté sans nécessairement être suivie. Donc ça c'était plus de l'apprentissage toute seule avec les clips, avec tous les clips que je voyais à la télé etc. Et puis j'ai eu un déclic, j'ai fait pas mal de petites choses du style faire des petites scènes, des shows de collège, de lycée, ce genre de petites activités. Et mon meilleur pote m'a un peu tendu la main pour chanter dans son groupe de musique. C'est comme ça que je me suis rendu compte qu'il fallait absolument que je fasse ça de ma vie et que j’arrête de me poser des questions. Évidemment ça n'a pas été hyper simple, parce que je n'ai pas fait le choix de faire de la musique à 100 % depuis toujours. J'ai fait la fac, j'ai fait une LEA anglais/allemand. J'ai passé ma licence et c'est vraiment pendant que j'étais à la fac que cet ami m'a sollicitée pour chanter dans son groupe. Sortie de cette repet', je me suis dit ''Bon il faut que je finisse ma licence et après ça, que j’arrête tout et que je fasse que de la musique''. Et c'est ce que j'ai fait ! Donc j'ai fait un an d'école de musique et ensuite j'ai fait un peu de conservatoire pendant 4 ans en jazz vocal. Et parallèlement à ça effectivement je composais, j'écrivais chez moi. Ô Magazine. C'est grâce au cours de piano petite et par la suite cette rencontre et proposition déterminante, qui font que tu es maintenant chanteuse et que tu l'assumes pleinement ? Sôra. Exactement. Credit : Amalia Freneuil Ô Magazine. Tu vas sortir ton premier album. Tu avais sorti un EP avant ça et là il s'agit de ton premier album. Est-ce que tu peux nous le présenter et nous expliquer comment il est né, de quoi il parle, comment tu l'as écrit ? Sôra. En fait, cet album, c'est un album auquel j'ai réfléchi pendant de longues années. Donc, c'est un peu l'aboutissement de tout ce qui se passait dans ma tête et de toutes les choses dont j'avais envie de parler depuis que je fais de la musique. Et puis finalement cet album s'appelle Long Life to Phil en hommage à mon père qui s'appelait Philippe. Parce que mon père a joué un rôle assez important dans le développement de ma passion musicale. C'était un mélomane, donc il me faisait écouter énormément de musique. On écoutait beaucoup de musique à la maison et je me rappelle avoir passé beaucoup de temps avec mon père à découvrir des albums, à découvrir pleins de choses. Du coup cet album, c'est un peu une réflexion sur la vie, sur les cycles, sur l'évolution, sur pleins de choses finalement, ça regroupe pleins d'idées. Et comme je suis quelqu'un qui a des goûts musicaux assez variés, je pense que c'est un album qui me représente bien dans ma personnalité musicale. C'est un album qui est plein de facettes assez variées. Et c'est surtout cette idée de cycle que j'avais envie de mettre en valeur. Avec la naissance au début, l'enfance, donc beaucoup de choses qui parlent de mon enfance, de certains traumatismes de certaines belles choses, de belles leçons que j'ai apprises et que j'essaye de partager, tout au long de l'album. C'est un peu le développement d'une vie avec ses tenants, ses aboutissants. Avec les tourments, avec les grandes décisions qu'on a à prendre dans la vie, avec tout le poids que ça peut avoir, comme toute la lumière que ça peut apporter. Donc, l'album commence par l'enfance et se déploie avec toutes les évolutions et le parcours que j'ai eu jusqu'à maintenant. J'ai voulu terminer l'album avec Sakura puisque c'est un album qui parle du deuil, des cycles, des saisons. Et au Japon effectivement ça a un rapport clair avec la vie et la mort. Donc voilà pour clôturer l'album c'est un peu ça. Tout est un peu métaphorique notamment pour le single qui sort avec l'album qui s'appelle Long Life To Fill, f-i-l-l donc cette fois, Longue vie à remplir, c'est un clin d’œil au nom de l'album, c'est l'homonyme de l'album. Et c'est un clin d’œil à mon père puisqu'il est passé un peu à côté de ses passions dans la vie. Je pense que ça m'a énormément poussé à suivre les miennes et à ne pas faire les mêmes erreurs. Et effectivement depuis que j'ai fait ce choix musical dans ma vie, je me sens hyper bien avec qui je suis et avec mon choix. Je ne regrette rien du tout même si évidemment ce n'est pas toujours hyper facile, surtout pendant une période comme on vit actuellement. Mais je suis hyper contente d'avoir fait ce choix. Et je pense que si je n'avais pas pu et été au premier plan de la vie et des choix de mon père, je n'aurais jamais fait ce choix-là pour moi. D'une certaine manière, c'est aussi le remercier d'avoir souffert, pour m'éclairer sur les choix à faire. Ô Magazine. C'est un hommage à ton père, à ce qu'il n'a pas pu faire et une introspection sur toi, sur ta vie pour ce premier album ? Sôra. Oui et c'est aussi finalement beaucoup de choses liées à la famille, c'est-à-dire à tout ce qui m'a poussé... L'amour ! Parce que ma mère a eu aussi un énorme rôle à jouer là-dedans, elle m'a toujours poussé, elle m'a toujours soutenue. Et elle m'a montré la lumière dans des moments assez sombres. Donc c'est un hommage à la famille, à l'amour, à ce qu'on peut en tirer, à ce qu'on peut tirer des choses compliquées dans la vie. C'est un peu, un album pour accompagner dans les moments difficiles et essayer d'en tirer le meilleur une fois de plus. C'est vraiment dans le côté optimiste que j'ai envie de partager tout ça ! Ô Magazine. Justement quelles sont tes influences, tes sources d'inspirations mais plus au niveau musical cette fois, pour l'album et ta musique ? Sôra. Au niveau de mes influences, je pense que clairement, on note des couleurs assez jazz et ça je suis sûre que ça vient de mon apprentissage vocal, surtout de mon suivi à l'école. Et aussi de tout le jazz classique qu'on écoutait à la maison, quand on faisait le ménage le week-end (rires) on écoutait du jazz à fond dans le salon. Je pense qu'on peut voir aussi que je suis une fan inconditionnel de R'n'B et de R'n'B pop des années 90 à 2000. Notamment avec des influences comme Pharrel Williams, Justin Timberlake. J'ai écouté beaucoup de Destiny's Child, Beyoncé évidemment, donc toute cette veine un peu R'n'B américaine qui passait à la télé, ça, ça m'a complètement influencé dans la musique. Et je dirais aussi qu' il y a eu un courant où je me suis pas mal intéressée aux chanteuses qui se trouvait un peu entre le hip-hop et toutes ces influences un peu néo soul / jazz etc, comme Erykah Badu par exemple. J'ai pas mal écouté du Lianne La Havas aussi récemment. Ça a ouvert ma façon d'écrire et de composer. Credit : Amalia Freneuil Ô Magazine. Tu chantes en anglais, est-ce qu'il était évidemment pour toi, est-ce que c'est naturel de chanter en anglais ou est-ce que ça été un choix de ta part ? Sôra. Alors, j'ai toujours composé des chansons en anglais, depuis que je suis petite, donc je pense que c'est vraiment plus naturel que réfléchi. Automatiquement en fait, vu que j'écoutais de la musique anglophone, mon père comme ma mère, mon père qui était français. Mon père comme ma mère, qui elle est britannique écoutaient de la musique anglophone. Donc, finalement ce qui se passait dans mes oreilles et ce que j'avais envie de reproduire c'était anglophone. Pour moi c'est hyper naturel et par rapport à la musique que je fais effectivement l'usage de l'anglais, pour moi, sonne plus mélodique. Après c'est peut-être des clichés aussi, parce que quand j'entends Enchantée Julia par exemple, en français, elle a des vibes super heavy et ça marche complètement ! Ce n'est pas une interdiction pour moi, mais c'est plus un feeling de base, quelque chose qui m'a toujours porté. Et puis je pense que c'est important pour moi de porter mes origines et de faire en sorte qu'on comprenne que je ne suis pas juste française. C'est plus compliqué que tout ça et la présence de l'anglais était évidente et omniprésente. Ô Magazine. Avec le Covid je suppose que les choses sont compliquées, comment tu t'es adapté à cette période et notamment pour les concerts et tout ce qui est rencontre avec le public ? Sôra. Par rapport à l'album, finalement ça a été assez ''utile''. Puisque ça m'a permis de prendre du temps, à bien écouter les mixs, à vraiment aller plus loin presque, j'ai envie de dire. Je crois que si je n'avais pas eu tout ce temps devant moi, à cause du Covid, grâce du coup au Covid. Je pense que j'aurais été beaucoup plus stressée par rapport à l'album, les choses seraient allées plus vite. Là, j'ai vraiment pu approfondir avec les musiciens, demander l'avis de tout le monde. Faire les choses au mieux pour l'album. De faire les finitions comme je les voulais. Pour ça, j'étais assez contente. Ça m'a permis de travailler sur d'autres choses. Il y a des points positifs évidemment quand on est musicien, on est chez soi avec son matériel et on n'a pas vraiment de limite. On peut s'occuper. Maintenant pour les lives, moi, clairement ça me manque beaucoup, comme à beaucoup de gens j'imagine. On a quand même essayé de stimuler le public avec toutes les sorties qu'on avait engrangé pour l'album. On a fait tout un planning de sorties qui permettent d'alimenter et on a aussi fait des petits tournages de live session qui vont sortir. Et récemment j'ai fait un live stream avec La sulfureuse. C'est un collectif dans lequel je suis entrée, c'est un collectif de femmes artistes indépendantes. Le live stream a été un succès et ça nous a vraiment permis de voir qu'on pouvait éventuellement travailler ce genre de formation. De manière un peu plus régulière en tous cas. Donc j'aimerais bien pouvoir instaurer des petits lives stream de temps en temps, le temps que la situation se remette en place. Credit : Amalia Freneuil Ô Magazine. Est-ce que les concerts comme Dua Lipa a fait par exemple, les concerts en live, être payée et performer comme un vrai concert. Est-ce que c'est quelque chose que tu envisagerais ? Sôra. Ben ouais carrément ! Ça me plairait bien évidemment. Je pense que le live stream c'est un exercice assez difficile finalement parce qu'on ne sait pas qui se cache derrière ces écrans. On n'a pas de vision directe des visages, donc on n'a pas vraiment les réactions devant nous. C'est assez déroutant le live stream quand on le découvre. Mais j'ai bien apprécié, j'ai bien apprécié. C'est vrai que j'avais un peu le stress de ce truc-là, ça m'angoissait un petit peu. Et finalement pour l'avoir fait pour la première fois récemment en concert avec mes instrumentistes, j'ai vécu un super moment. Donc clairement, si c'était à refaire, je le referais sans hésiter. Je n'ai plus aucun a priori maintenant que je l'ai fait, ça me ferait plaisir de le refaire. Je pense qu'on est tous en manque de jouer. C'est sympa d’être seule chez soi, à composer, à travailler, mais c'est vrai que la musique il n'y a rien de mieux que de la partager, même si c'est avec ses musiciens derrière un écran. Je pense que c'est bien de le faire. Ô Magazine. Est-ce que tu aurais un petit mot pour la fin ? Sôra. Courage à tous pour cette période compliquée. J'espère que tout le monde s'en sortira sans trop de problème. Et puis écouter l'album, je pense qu'il est rafraîchissant. Il va faire du bien et c'est une vague d’optimiste dans cette période compliquée. J’espère aider du peu que je puisse. Merci Sôra pour le temps que tu nous as accordé, nous te souhaitons pleins de belles choses et évidemment que le succès soit au rendez-vous pour ton premier album ! A bientôt ! Read the full article
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leblogdemarinaetjeanmarie · 7 months ago
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SAMEDI 4 MAI 2024 (Billet 1 / 3)
Re-découverte d’un adjectif que nous trouvons très pertinent pour qualifier celui dont il est question dans ce Billet.
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« Les deux visages de Patrick Cohen : impeccable sur LCP, péremptoire sur France 5
Le journaliste adopte deux tons différents dans les deux émissions auxquelles il participe.
Dans « Rembob'INA » sur « La Chaîne Parlementaire », émission d'archives à la fin de laquelle on ne peut s'empêcher, chaque fois, de se dire que la télé, quand même, c'était mieux avant, Patrick Cohen est impeccable. On ne peut que le recommander. Ce dimanche, il propose à 16 heures une émission sur Marguerite Duras, intervieweuse pour l'ORTF dans les années 1960, ce qui montre que la télévision publique sous de Gaulle était, quoi qu'on en dise, plus tolérante aux gens de gauche que le service public d'aujourd'hui ne l’est aux gens de droite. Mais dans l'émission d'Anne-Élisabeth Lemoine, « C à Vous » sur la 5 (18 h 55 du lundi au vendredi), il devient idiot.
Cassant, péremptoire, ne cachant pas son mépris pour qui ne pense pas comme lui, ses excès lui ont fait se prendre les pieds dans le tapis : blâme de l'Arcom. Mais Cohen, gonflé de certitudes, continuera d'attaquer ses ennemis, qu'il renforce d'ailleurs chaque fois qu'il parle, y a-t-il seulement songé ? Pour lui, l'important n'est pas tant l'efficacité de son combat que de garder tranquille sa conscience de bon bourgeois de gauche. »
(Source : « Un article de Stéphane Hoffmann »)
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Nous regardons de moins en moins cette émission, principalement à cause de « lui ». Nous cherchions un adjectif pour le définir dans ses interviews. Ce journaliste l’a parfaitement trouvé : « PÉREMPTOIRE ». C’est ça, c’est un journaliste PÉREMPTOIRE, pétri de ses propres certitudes, n’accordant de crédit qu’à ses propres analyses… C’est même parfois à se demander pourquoi il invite tel(le) ou tel(le) politique, son rêve doit être de s’interviewer lui-même !
Et c’est bien dommage car en dehors de ça, lorsqu’il est question de culture, il est très, très bien. Nous l’avons vu et beaucoup apprécié dans une émission culturelle qu’il animait tard le soir avec Anne-Elisabeth Lemoine durant tout le temps de la période de « confinement Covid ». Un peu dans le style de celles de Claire Chazal, « Entrée libre », puis « Passage des Arts ». Cette dernière s’est fait malheureusement virer, trop « blanche », pas assez définie « à gauche »… mais aussi pour laisser un créneau plus long à « C… à Vous » qui, sauf à de rares exceptions, après 20 heures, ne propose pourtant rien de très franchement culturel, quant à l’humoriste Bertrand Chameroy qui conclut l’émission, lui est franchement pa-thé-tique.
A propos, Guillaume Meurice, humoriste sur France Inter, va peut-être se faire virer, entre autre pour sa blagounette, réitérée à l’antenne quelques jours plus tard : « Benyamin Netanyahou, c’est une sorte de nazi mais sans prépuce » … et franchement, s’il part, on ne va surtout pas pleurer. Nous avons trouvé très bien ce qu’en disait la rabbine Delphine Horvilleur : « Prépuce ou pas : moi je serais plutôt en faveur de circoncire le temps d’antenne de Maurice Guillaume ! ». A-t-elle été écoutée par le « Très-Haut », il n’empêche, croisons les doigts, ça devrait se faire. A quand le tour de Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek, Philippe Monthaye (du Service Public)… plus que clivants mais toujours dans la même direction : contre tout ce qu’on peut classer « à droite », mais dont les émoluments, eux, sont sponsorisés par l’ENSEMBLE des contribuables français !!!
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